Les 40 premiers groupes français ont dégagé un montant de 74 milliards d'euros de profits ! Dans un environnement économique très difficile, les groupes français ont bien résisté.

Une bonne nouvelle n'arrive jamais seule...Pour JCDECAUX c'est une année record, son chiffre d'affaires est de l'ordre de 2.5 milliards d'euros soit une hausse de 4,80 %. Le résultat net passe à 212 millions soit une évolution de + 22.7 %...Ses gros clients sont le secteur du transport (gares...) le numérique prend une place grandissante avec près de 5 % du C.A.

Malgré la crise de la zone euro, les 40 premiers groupes français ont dégagé 74.3 milliards de profits. C'est donc dans un environnement bien délicat que les groupes ont bien résisté. Cela mérite un coup de chapeau !

Comme les bonnes nouvelles n'arrivent jamais seules, JCDECAUX a enregistré un  C.A record de 2.46 milliards d'euros, en hausse de 4.80 % et un résultat net de 582 millions soit + 4.80 % .

L'analyse financière c’est l'évaluation de la situation financière d'une entreprise qui existe ou d'un projet.

Le but de cette analyse est de fournir, à partir d'informations d'origines diverses, une vision synthétique qui fait ressortir la réalité de la situation et qui doit aider le dirigeant, l'investisseur et le prêteur dans leur prise de décision. Les aspects les plus souvent étudiés sont la profitabilité,  solvabilitéet la liquiditéde l'activité considérée.

• Pour cela il faut connaître la situation de l'entreprise :

Actionnariat et dirigeant,

Activités(produits et services), localisation, place sur le marché (clients, concurrents, fournisseurs),

Fonctionnement général(production, distribution...),

Situation financière: rentabilité, solvabilité, capacités de financement,

Comparaison dans le temps(là on passe du statique au dynamique): évolution qu'a connu tout cela sur plusieurs années.

Comparaison dans l'espace, autrement dit de ces éléments avec ceux des entreprises similaires.

Enfin les forces et faiblesses sur tous ces points.

• Il faut inventorier les éléments économiques généraux et sectoriels:

Conjoncture économique générale,

Taux d'intérêts (chose importante pour valoriser les actions),

Perspectivesdes branches d'activités où l'entreprise est présente.

•  Le besoin de se projeterdans le futur apparait alors :
•  

Cette projection peut être qualifiée d extra – temporelle, elle consiste à élucider, de façon critique, donc pas forcément sur la base de ce qu'annonce l'entreprise :

Ses perspectives :

Opportunités et risques, atouts et faiblesses

Projets, investissements et financements,

Prévisions financières: Chiffres d'affaires, coûts et marges, équilibres financiers.

4.Valoriser tout cela, en résultat selon les scénarios d'évolution qui auront été ainsi établis et

pour essayer de déterminer :

des prévisions d'évolution des bénéfices ou résultats

le degré d'incertitude de ces prévisions,

la valeur économique de l'entreprise, à partir de ces éléments de rentabilité et de risque,

et enfin  la valeur  potentielle de l'action. 

Créer son Entreprise sur un créneau porteur :

Les nouvelles habitudes des consommateurs, le développement du low-cost, ainsi que la résistance à la crise de certains secteurs d’activités comme le bricolage.

Les Français désirent toujours procéder à la création de leur entreprise.

550 000 Nouvelles entreprises furent lancées en 2011

Plus d’un créateur sur deux a choisi le régime de l’auto-entrepreneur (292000 environ)

Rappelons nous qu’en 2010,  622000 créations étaient répertoriées.

On découvre ainsi des activités low-cost comme la coupe de cheveux à 10 €, des ventes de sandwichs à  1 €…Certaines offres comme le prêt de voiture, ou l’autopartage se multiplient.

Il faut cependant éviter les effets de mode pour ces activités nouvelles, certaines ne respectent pas la réglementation.

Avec un consultant du Cabinet SYLDY procédez à une étude du marché, à une analyse de la rentabilité future, afin de proposer une offre en rapport avec une réelle demande.

Ne restez plus seuls !

LVMH porté par le dynamisme du luxe

Le numéro un mondial du luxe ignore la crise.

Ses ventes (23.7 millards) ses bénéfices progressent, sur tous les continents, et

Dans tous les secteurs d’activités : horlogerie – maroquinerie – mode en tête…

Le chiffre d’affaires progresse de 11 % en 2011.

 (+ 18 % aux USA - + 7% en Europe)

Les ventes en mode et maroquinerie ont atteint 8.712 milliards d’€, soit + 15%

Les ventes en horlogerie ont progressé de 23 % environ

Les vins progressent de 10 % et dépassent pour la première fois le milliard d’€

Conséquence première et non négligeable : la charge de travail des 12 ateliers français, ainsi que des sous-traitants augmente sérieusement.